La régie de L’Eau Bordeaux Métropole : un organisme public sensible doté d’un SI critique à sécuriser
En succédant à Suez, le délégataire historique de la gestion de l’eau pour la métropole de Bordeaux, la REBM a pris la responsabilité de la gestion publique et industrielle de l’eau potable sur un territoire de 518 km2. Ces missions en font un organisme sensible qui doit se doter d’un SI hautement sécurisé, dans un triple objectif :
- Garantir la continuité de son activité afin d’assurer la distribution de l’eau potable aux habitants.
- Protéger ses données sensibles contre tout type de sinistre (actes de malveillance, négligences ou incidents).
- Répondre aux exigences imposées par l’ANSSI aux organismes publics.
En effet, si le système d’information de la régie de L’Eau Bordeaux Métropole devait subir une attaque informatique ou une panne matérielle, cela aurait potentiellement des conséquences sur l’ensemble du réseau de distribution de l’eau potable de la région bordelaise (et ses 814 000 habitants).
On parle donc d’un SI critique encadré par des normes de sécurité draconiennes. D’où la recherche d’un outil collaboratif adapté.
Dans un contexte où le niveau d’exposition des acteurs publics et privés aux risques cyber est en hausse constante, la protection des organismes sensibles constitue une priorité absolue pour les autorités de contrôle comme l’ANSSI. « Cette solution devait sécuriser nos données, garantir notre conformité avec les exigences réglementaires, mais aussi répondre aux besoins collaboratifs en interne. »
Car cette exigence de sécurité est secondée par une autre problématique, moins vitale certes, mais essentielle : la nécessité de mettre en place une solution simple d’accès, facile à prendre en main par les utilisateurs finaux (une bonne partie des 450 personnes qui forment l’effectif de la régie de L’Eau Bordeaux Métropole), et évolutive.