Aujourd’hui, 80% des salariés français reçoivent encore leur bulletin de salaire en version papier. Si la dématérialisation des processus peine encore à se généraliser dans les entreprises, les salariés, eux, sont prêts à passer au zéro papier.

Le bulletin de paie dématérialisé a été rendu légal le 12 mai 2009. Au départ, un employeur devait avoir le consentement du salarié pour lui remettre un bulletin de paie électronique. Depuis le 1er janvier 2017, « sauf opposition du salarié », un employeur peut « procéder à la remise du bulletin sous forme électronique », par email et/ou via le compte personnel d’activité (CPA).

Des perspectives d’économies majeures

Selon la dernière enquête Emploi de l’Insee (2016), la France compte 26,6 millions d’actifs. Le nombre de fiches de paie imprimées et mises sous enveloppe chaque année est considérable. Et cela représente aussi un coût très important pour chaque entreprise. On estime entre 3 et 4,5 euros par document l’économie générée par la dématérialisation. Au niveau de chaque entreprise, les économies possibles en passant au numérique sont très importantes.

Les salariés français se déclarent majoritairement favorables à la dématérialisation de leur bulletin de paie. C’est ce qui ressort d’une étude menée par OpinionWay pour Althéa, cabinet de conseil spécialisé dans les RH. Les raisons invoquées sont : un meilleur respect de l’environnement (65%), accéder aux fiches de paie à distance (48%) et la protection en cas de sinistre de leur domicile (43%).

Un besoin d’être rassurés et accompagnés dans le changement

Si les salariés sont enthousiastes face à la dématérialisation de certaines procédures administratives RH, ils émettent cependant le besoin d’être accompagnés et rassurés. Ils mettent en avant des inconvénients liés à cette dématérialisation : le manque de sécurisation et de garantie de confidentialité des données, le risque de perte d’information, la perte de contacts humains avec les interlocuteurs RH/administratifs ou encore l’impossibilité de pouvoir conserver une trace papier des documents.

« Les habitudes sont inscrites dans la culture française. C’est pourquoi l’accompagnement au changement est si important dans tout projet de modernisation ou de digitalisation de l’entreprise. Ce n’est qu’à ce prix qu’on remporte l’adhésion des salariés. Quant à la sécurité et à la confidentialité des données, elles sont des craintes légitimes face aux cybermenaces actuelles. Le choix d’un fournisseur de confiance, proposant des solutions tout à la fois séurisées et disponibles n’est désormais plus une option », a déclaré David Gordon, senior manager chez Althéa.

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